Faire appel à un courtier peut se révéler une aide précieuse

Et si les résidents Luxembourgeois prenaient exemples sur d’autres pays d’Europe comme la France ou la Grande-Bretagne leader sur le marché des brokers ?

Le marché immobilier connaît une crise sans précédent au Grand-Duché. La hausse brutale des taux d’intérêt est l’une des raisons de ce marasme. Dès lors, solliciter un courtier peut se révéler une aide précieuse. Cette pratique est bien connue de certains de nos compatriotes européens, notamment français ou anglais, qui ont bien compris l’intérêt d’être accompagnés dans la recherche de leur financement…

Même si une baisse sensible des taux a été constatée durant l’été par la banque centrale, ils restent à un niveau élevé beaucoup plus élevés que ces 5 dernières années. Emprunter est dans certains cas devenu un parcours du combattant pour celles et ceux qui souhaitent acquérir un logement. Parallèlement si les prix de l’immobilier ont, dans la plupart des cas, baissé ces derniers mois, et ce après des années de hausse, ils demeurent parmi les plus élevés d’Europe.

Les propriétaires qui ne sont pas dans l’obligation de vendre et qui savent que l’offre reste structurellement inférieure à la demande attendent le retour de jours meilleurs et ne baissent pas leur prix…. Il ne faut donc pas uniquement compter sur une hypothétique baisse de prix pour voir votre projet se concrétiser.

En effet, Il existe une autre solution pour mener à bien votre projet sans attendre :

Etre accompagné par un intermédiaire spécialisé en crédit immobilier. C’est-à-dire un courtier. Fin connaisseur du marché et en relation constante avec les banques, il négocie à votre place le taux le plus avantageux en mettant en concurrence ses partenaires financiers et vous accompagne de façon personnalisée du début à la fin de votre projet. Ceci est pour vous synonyme d’économie mais également de gain de temps puisque vous n’avez pas à démarcher les banques les unes après les autres.

En dépit de ces avantages les foyers luxembourgeois restent plus timides que leurs compatriotes européens et hésitent encore à faire appel à un courtier.

Un sondage (*) réalisé tout récemment en France démontre que chez nos voisins, la situation est très différente. Comme ailleurs, les particuliers admettent ne pas être des experts : ainsi, « 64% des 25-65 ans déclarent avoir des mauvaises connaissances en matière de financement immobilier ». Cela étant, ils sont conscients que la période est compliquée pour investir : « 66% affirment que le contexte actuel n’est pas vraiment propice à un achat immobilier ». Ce que confirment ceux qui ont réussi malgré tout à finaliser leur projet : « 78% des acheteurs récents affirment que les conditions actuelles d’accès à un crédit immobilier se sont complexifiées ».

Un tel sondage avec de telles questions, réalisé au Grand-Duché, donnerait sans doute des chiffres équivalents. En revanche, les Français, eux, ne rejettent pas la main tendue par les courtiers. Du reste, ils sont « 84% à en avoir déjà entendu parler » et « 54% qui voient précisément de quoi il s’agit ».  Rien d’étonnant, car 28 % des personnes interrogées ont déjà eu recours à leurs services, et quoi qu’il en soit, « 71 % ont une bonne image des courtiers en prêt immobilier ». Une image flatteuse qui ne doit rien au hasard. En France, la pédagogie a fait son œuvre, notamment via la meilleure des publicités : le bouche à oreille. Qu’ils aient déjà fait appel à leurs services ou non, les particuliers de l’Hexagone ont compris à une large majorité (de 81 à 66%) que les courtiers « permettent de gagner du temps, de bénéficier d’un accompagnement expert, de faire des économies » et donc qu’ils « sont essentiels dans le contexte économique actuel pour parvenir à obtenir un financement immobilier ». Résultat final, « 80% estiment que l’aide d’un courtier est nécessaire et 20% qu’il est même indispensable ».

N’hésitez plus…Les courtiers sont là pour vous aider à mener à bien votre projet.

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(*) Enquête IFOP de juin 2023 auprès de 1302 personnes dont 30 % déclarent avoir au moins un projet d’achat immobilier d’ici deux ans.